Tall Dark Stranger: The Buck Owens & The Buckaroos Recordings 1969-1975
M**N
Missing the Tall Dark Stranger
This Box Set should be called "Missing the tall dark stranger". This set is supposed to include buck owens 1969-1975 Capitol recordings. All The CD jewel cases have pics of the tall dark stranger but the only 2 songs in the set from the original album are "Tall Dark Stranger" & "But you know I love you".9 Missing tracks are: "There are gonna be some changes made", "White Satin Bed", "Darlin' you can depend on me", "In the middle of a teardrop", "Across the town and gone", "Maybe If I closed my eyes", " I would do anything for you", "Sing that kind of song", "Hurtin' like I never have hurt before". I haven't finished going thru this cd set or book so my rating might change. that is why I am giving it a 4 out of 5 for now. I might revise when I am finished going thru set. I am not sure what else is missing if any.Bear family, do your research, ur dropping the ball. Hey Bear family, Capitol, or anybody! Please Come out with the complete Tall Dark Stranger original album, on CD.
V**E
Pleasant Surprise
This a good set and of course any Buck completist will need to get it. As a latecomer I wasn't very familiar with a lot of the work. Surprisingly I enjoyed the last few discs more than the earlier. Generally there were less backup singers, duets, and Buckaroos releases so maybe that is the reason. Not to say any of those were bad, just not something I will revisit frequently. The mastering was very good also.
C**U
Five Stars
Bear Family never lets me down. A solid collection.
D**D
Five Stars
Amazing!!! Just what you expect from Bear Family!! Long live Buck Owens!!
M**E
A masterpiece!
This third Bear set on Buck's Capital recordings, is a true gem. There are many previously unreleased songs and some remakes of some of his old 60's hits. This is a fantastic set to own as it contains some outstanding songs such as his version of Today I Started Loving You Again, and he does some rock covers such as BridgeOver Troubled Water, and Homeward Bound. Buck experemented a lot in the 70's and this set has a great deal of those recordings of rock covers. It features his duets with Susan Ray and they do a beautiful job on Mickey and Sylvia's Love Is Strange. Highly, highly recommended! Now, it's time for Bear to do a set called, Complete Live Recordings! Like with the Merle Haggard Concepts set, they should do a set on all his live releases.
F**N
Bear Family nervt schon wieder !
Buck Owens wie gewohnt um 1970 - besser konnte das Material nicht aufbereitet warden, aber man hört gelegentlich schon durch, dass Buck Owens nicht wirklich weiter weiss. Der Versuch mit Bettye Swann überzeugt daher nicht, der Rest ist sehr gute Buck Owens und Buckaroo Ware, die sich nahtlos an seine anderen Bear Family Boxen anschliesst. Das dicke Aber ist die Box - Bear Family fällt schon wieder damit auf, dass das Material auf mehr CDs verteilt wird als eigentlich notwendig. Das treibt den Preis in die Höhe und soll es auch wohl, weil das ja kein Einzelfall ist. Sieben CD's hätten für die etwa 520 Minuten sehr bequem ausgereicht. Ein Bärendienst am Kunden.Excellent as usual - the drawback is the inflated box and tht's not the first time I am noticing this. Seven CDs would have been more than sufficient for the 520 minutes. Too bad - Bear Family pricing is a bear for the customer ...................
S**Y
Owens the saint...
Bon, allez, OK, je m'en charge, vu que visiblement personne ne va le faire. Où on reparle de country. Et de la bonne. Buck Owens. Une institution chez lui mais peu connu dans nos contrées. Et pourtant... Ce coffret monumental de huit CDs est le troisième que lui consacre la très sérieuse maison allemande Bear Family pour la totale de ses enregistrements. Ça se passe donc entre 1969 et 1975, Buck Owens a déjà fait un bon bout de chemin, c'est même carrément une star qui a son propre show télé et tout et tout. Buck Owens, c'est pas bien compliqué, est l'un des dépositaires du Bakersfield sound, soit une country roborative, qui pulse, va de l'avant, file à toute berzingue, ne laissant qu'un nuage de poussière derrière elle. C'est frais, entrainant et vivifiant. Ça fonce, quoi. Et c'est exactement ce qu'on trouve sur ces huit CDs jamais pris en défaut. Faut dire que le groupe derrière lui, les fameux Buckaroos, sont tout sauf des baltringues. Il y a notamment cette fine lame, bretteur intraitable, qu'est Don Rich, qui cisaille des interventions pleines de liant (il décède malheureusement en 1974 à la suite d'un accident de la route). Sinon, on a droit à du violon virevoltant et zinzin et à du banjo secoué et opiniâtre. Ça fume comme ça tout du long. Buck Owens n'a alors plus qu'à placer sa voix claire et puissante, sans aucun effet de manche, aboyant plus qu'il ne chante. Et ça envoie. Nous, tout content, on n’arrête pas de beugler des Yeeeee-hi à tire larigot et de tirer des coups de pistolet dans le plafond. Ça fume, je vous disais. C'est comme ça. Musicalement, franchement, c'est quand-même plus consistant que le tchac-ka-tchac de Johnny Cash. Ce qui est intéressant ici, c'est que Buck Owens, déjà une belle carrière derrière lui, n'en finit pas d'écrire de chouettes compos bien taillées, il possède sa formule, ses tics, ses façons de faire, mais cela reste toujours d'une fraicheur et d'un allant insensés, mais aussi il élargit un peu son spectre musical, conscient des changements qui se sont opérés, et qui continuent de le faire, dans la pop et dans le rock. Cela donne une variété bienvenue dans ces enregistrements. On se rend compte également de l'influence du bonhomme, notamment sur Creedence Clearwater Revival, qui le cite dans un de leurs morceaux (info pertinente du précieux Anatole), dans cette façon d'aller de l'avant et de balancer la purée sans vergogne. Faut que ça gicle, vite fait, bien fait. On a tout, donc, de ses enregistrements entre 1969 et 1975, c'est beaucoup (certains CDs dépassent même les 80 minutes de durée) mais c'est invariablement jouissif. Outre les albums de Buck Owens, on y trouve les albums en duo avec Susan Raye, les disques instrumentaux des Buckaroos et grand nombre d'inédits du même tonneau dont cet étonnant duo avec la chanteuse soul Bettye Swann, pas sorti pour ne pas froisser une partie du public blanc et conservateur d'Owens (ce qui en dit quand-même long sur l'Amérique de l'époque...). Toujours ce constat, tout le temps, partout: ça glisse tout seul. Fantastique en vérité. Ça peut faire cher mais voilà un coffret dont on n'a pas fini de faire le tour; et puis le packaging est superbe, format 33-tours et gros livre cartonné de même dimension. Et le son est divin. Voilà. Une somme, comme on dit.
A**E
Beautiful!
Buck ruuuuuules!
C**N
I love it
un autre coffret pour compléter la discographie de Buck Owens
Trustpilot
5 days ago
1 week ago